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jeudi 17 juillet 2014

Adamaoua: La Croisade contre le vih/sida et le Paludisme s'intensifie


                      Le cercle des promoteurs et de la scolarisation et de la santé(Ceprossa) a organisé un atelier de formation  des jeunes  de deux jours  dans le but de  combattre le paludisme et le vih-sida dans l’Adamaoua. Les membres de la société civile «  Ceprossa »  ont marqué un temps d’arrêt ,la  semaine dernière pour voir dans quelle mesure contrecarrer les maladies dévastatrices  au Cameroun et en particulier dans la région de l’Adamaoua où le chiffre des victimes s’accroit au fil des jours. Pour l’heure, la région château d’eau du Cameroun, enregistre au sein de sa communauté  un nombre élevé   des cas de décès liés à  vih-sida et au paludisme. Et ce,  malgré les croisades  engagées sur le terrain par les pouvoirs publics. Selon les responsables de Ceprossa,  Le vih-sida et le paludisme demeurent  pour l’instant un problème serieux à cause de  l’inaccessibilité  au soin et la sous scolarisation de la population. " Nous essayerons de sensibiliser le plus grand nombre qu’il soit, appeler ici les ambassadeurs qui vont porter le message vers la population restées dans les zones les plus reculées. C’est une nécessité pournous  d’interpeller l’ensemble de la communauté à prendre au serieux les problèmes liés au paludisme et à  vih-sida". Rassure Denis djouldé, président de la Ceprossa

           Dans le souci de renforcer les capacités des populations camerounaises en matière de santé publique afin d’aboutir à l’amélioration de leurs conditions sanitaires, l’association a au cours de cet atelier formé, 25 jeunes et associations sur le volet, prévention, sensibilisation, redynamisation des comités de lutte contre le sida et le paludisme, avec  pour partenaire  , le ministère de la santé publique. Les questions essentielles ont été abordées, pour  la redynamisation des comités de lutte existants dans les zones d’intervention et  le renforcement des compétences humaines des associations identifiées. « En ma qualité d’intervenant de la société civile, il faut mettre  l’accent sur la recherche en favorisant la médecine traditionnelle,  ainsi on pourrait mettre la recherche aux services de la maladie pour que l’efficacité suive. Aujourd’hui on est tenté  de se demander si  la stigmatisation a disparu au sein de la population, à mon avis il faut une refonte  du comité de lutte contre le sida »  estime Aboubakar, de l’Ong réseau urbain des habitants. Les assises organisées par Ceprossa au centre de promotion de la femme et de la famille pendant deux jours, ont débouché sur la remise des attestations aux participants.
                                                                 
                                                                                 Nikodemus waibe Hinsia 

lundi 14 juillet 2014

LE DROIT DE REPONSE DE SAMUEL ETO'O FILS AU JOURNAL LA METO


                                                             A
                                MONSIEUR DIEUDONNE MVENG
           DIRECTEUR DE PUBLICATION DU JOURNAL LA « METEO » -YAOUNDE
                                        Monsieur le Directeur de Publication,
Monsieur Samuel ETO’O Fils demeurant en Angleterre, ayant pour conseil Me ELAME BONNY Privat, Avocat au Barreau du Cameroun BP. : 11691, Tél. : 99 91 80 74 Yaoundé, porte à votre attention ce qui suit :
        Qu’à la Une de votre journal N°600 paru le 09 Juin 2014, vous avez rédigé en caractères très apparents : « Scandale. Samuel ETO’O séquestre sa copine ».
Conformément à la loi N°90/052 du 19 Décembre 1990 portant Liberté de Communication Sociale, en son Article 53, Monsieur Samuel ETO’O Fils tient à clarifier les faits inexactement rapportés par votre Journal.
Mon client confirme bel et bien avoir déposé plainte au Parquet d’instance de Yaoundé Centre Administratif contre dame KOAH Hélène Nathalie pour les faits d’abus de confiance.
Que d’ailleurs cette plainte est toujours en instruction devant les autorités Judiciaires compétentes.
Qu’il semble judicieux d’indiquer que votre article qui brille par la prolifération de termes outrageants contre la personne de Monsieur ET’O Fils étale également au grand jour votre mépris de la vie privée de ce dernier ainsi que du pouvoir judiciaire de notre pays. Que vos propos sont essentiellement diffamatoires et injurieux.
En effet, par ma plume, Monsieur Samuel ETO’O Fils réitère avec véhémence n’avoir jamais séquestré qui que ce soit s’agissant d’une infraction contre la sûreté de la personne, la séquestration est une atteinte à la liberté physique celle-ci étant de la compétence exclusive des Tribunaux Judiciaires. 
Que pourtant en des termes à peine voilés vous faites le reproche à Monsieur Samuel ETO’O Fils d’avoir séquestré dame KOAH Hélène Nathalie sans pouvoir apporter la moindre preuve de vos allégations.
Qu’elle a été interpelée par les autorités compétentes puis conduite au Commissariat du 2éme Arrondissement dans le cadre de la procédure ouverte contre elle. Que ceci a été fait en toute légalité.
Qu’en plus comme éléments constitutifs de cette infraction, il y a l’arrestation, la détention et surtout l’illégalité de la détention toute chose qui suppose l’absence d’ordre ou de permission de l’autorité compétente.
Que le fait dans votre journal d’exhiber les faits sous forme dubitative ou par insinuation ne vous exonère pas de la responsabilité pénale encourue. Car votre article est de nature à porter atteinte à l’honneur et à la considération de Monsieur Samuel ETO’O qui pense par ailleurs avoir droit à un procès juste et équitable. Qu’il n’est pas superfétatoire de rappeler que dans cette affaire mon client reste la victime.
A la lecture de votre article vous attribuez à monsieur Samuel ETO’O Fils la paternité des faits inexacts sans doute dans l’intention de nuire à ce dernier. Lorsque l’auteur affirme : ‘… de la part de sa copine qu’il qualifie de : ‘‘jouet de luxe’’.Qu’à la suite de cette campagne de dénigrement mon client tient toutefois à préciser que les sommes réclamées à dame KOAH lui ont été remises à des fins autres que celles avancées. Permettez – moi de vous dire que le Cameroun est un Etat de droit que la justice est une Institution sérieuse qui ne saurait être sous les ordres de qui que ce soit encore moins sous ceux de monsieur Samuel ETO’O Fils simple justiciable qui ne demande qu’à se faire rendre justice.
Qu’à ce propos le Préambule de la Constitution de la République du Cameroun dispose que ‘‘la loi assure à tous les hommes le droit de se faire rendre justice’’.
Qu’à  la lecture de ce texte d’ordre public, il en ressort que : ‘‘nul n’a le droit de se rendre justice’’. C’est dans cette optique que mon client a saisi la justice.
Concernant les menaces de viol et de mort dont aurait été victime dame KOAH, Monsieur Samuel ETO’O Fils n’est ni de près ni de loin concerné dans cette affaire. A l’heure où l’équipe Fanion de FOOTBALL du Cameroun entame la phase finale du Mondial qui se jouera au BRESIL d’ici quelques jours, cette campagne de médisance a pour seul but de déconcentrer et de déstabiliser son Capitaine.
Par la présente Monsieur Samuel ETO’O Fils précise être un citoyen à part entière qui réclame que justice lui soit rendue.
Tout en vous priant de faire preuve de beaucoup de professionnalisme dans l’avenir, je sollicite l’application stricte de l’Article 53 de la Loi précitée avec toutes ses conséquences de droit.
Cordialement votre.
Yaoundé le 10 Juin 2014
                                      Note de la rédaction
Nous accusons réception de votre droit de réponse. Et saluons la promptitude avec laquelle vous réagissez. Votre correspondance confirme au moins qu’il existe un conflit entre Hélène Nathalie Koah et votre client, Samuel Eto’o Fils. D’ailleurs, votre texte souligne que l’affaire «est toujours en instruction devant les autorités judiciaires compétentes». Toutefois, permettez-nous de regretter le ton condescendant que vous utilisez et surtout, votre très forte propension à vous érigez en donneurs de leçons de journalisme. 
Vous dites par ailleurs que La Météo étale au grand jour, son mépris de la vie privée de Samuel Eto’o Fils. Traiter d’une affaire déjà portée devant les autorités judiciaires relève-t-il d’une violation de la vie privée ? Vous soutenez également que l’article est plein de termes outrageants et injurieux, or, nulle part dans notre texte, il n’existe pas de termes injurieux encore moins outrageux, concernant Samuel Eto’o Fils, votre client -comme vous l’appelez si bien, suivez notre regard. 
Vous parlez enfin de diffamation sans toutefois préciser les propos diffamatoires que nous aurions eus à l’endroit de votre client. N’aurait-il pas été meilleur pour vous de préciser la nature des relations entre Samuel Eto’o et Hélène Nathalie Koah ? De préciser quelle est l’abus de confiance à laquelle vous faites allusion ? Ou alors, d’indiquer «à quelles fins» le capitaine des Lions indomptables a-t-il offert tous ces présents à la jeune demoiselle ? 
Quels que soient les griefs que votre client puisse avoir contre dame Hélène Nathalie Koah, c’est à partir du moment où l’affaire a été portée devant les juridictions, à quelques jours de la Coupe du monde Brésil 2014 que vous évoquez, que la presse s’est saisie du dossier. Sans oublier que c’est (Eto’o lui-même ou son conseil) qui aura déclenché cette affaire en déposant une plainte au moment où les Lions sont en stage, et non La Météo. 
De même, en parcourant le contenu de l’article querellé, vous avez sans doute constaté notre difficulté à obtenir la version des faits de votre client, pour un recoupement d’usage. Faudrait-il donc parler de campagne de médisance ? In fine, nous n’allons pas en rajouter. Seulement, nous nous interrogeons. Est-ce La Météo qui est à l’origine du buzz cybernétique, qui bat son plein depuis peu avec la publication des images choquantes de Samuel Eto’o Fils et Hélène Nathalie Koah sur des réseaux sociaux, via Facebook et Whatsapp ? 
Nous n’allons pas faire étalage des conversations «Inbox» dont nous avons copie, entre votre client et cette employée de la Camair-co, mais nous trouvons quand même curieux, le fait que Hélène Nathalie Koah est arrêtée dans un hôtel, en plein Yaoundé 1er, conduite et placée plutôt pendant trois jours en détention dans un commissariat de Yaoundé 2e où son véhicule est jusqu’à ce jour retenu? 
Arrêtons tous, de grâce, de continuer à alimenter cette polémique. Notre onze national, conduit par Samuel Eto’o Fils étant prêt à rugir pour défendre nos couleurs à savoir, le vert-rouge-jaune. Allez les Lions ! 
                                                                                                                      © Source : La Météo

jeudi 10 juillet 2014

Match amical international: Coton Sport trébuche à Kinshasa (0-1)

                  Coton Sport de Garoua a cédé dans les derniers instants cet après midi à Kinshasa, après avoir réalisé une performance de haut niveau face à Vita Club qui sera sans aucun doute un des futurs demi-finalistes de la ligue des champions de la CAF.
                   Notre jeune équipe composée de cinq U20 Camerounais au départ de la rencontre a fait preuve d'une combativité et d'une discipline tactique sans faille, enchantant même l'immense foule des supporters Congolais. Vita Club excellent dans tout ses compartiments de jeu a démontré qu'il faudra compter sur lui pour le titre continental suprême, s'appuyant sur des individualités offensives à très fort potentiel, tout particulièrement Luvumbu Nzinga, Kanda A Mukok . Malgré une domination territoriale de nos adversaires, les cotonniers se sont crées quatre opportunités de marquer notamment en première mi-temps et ont malheureusement manqués de réalisme, facteur essentiel de ces confrontations de très haut niveau. Armés de leur courage habituel, les poulains de Didier Gomes Da Rosa n'ont rien lâchés et se sont battus jusqu’au bout du temps additionnel pour revenir au score. Les deux équipes qui se sont livrées à un vrai match de préparation sont sorties, sous les ovations des 25000 supporters présents. En tout cas, nos cotonniers ont su répondre avec dignité et honneur à cette invitation et cet accueil des responsables de Vita Club. Nul doute que cette rencontre face à des joueurs expérimentés et percutants servira de base de travail au staff des verts et blancs du septentrion. Enfin la délégation exprime un prompt rétablissement au gardien de Vita Club gravement blessé au cours du match. Le séjour de Coton Sport à Kinshasa s’achèvera samedi afin de déplacer son camp d'entrainement à Dolisie pour affronter AC Léopards à 15heures 30.

                                                                              Source site coton sport de Garoua , Abakar Abdoullay

Consommation: La délégation régionale du commerce de l’Adamaoua au chevet de la population en cette période de penitence

Une campagne de promotion de consommation de l’huile végétale et de ses dérivés est lancée hier jeudi à Ngaoundéré, et ce, jusqu’ç la fin du mois de Mai. Durant cette période, les citoyens de la ville de Ngaoundéré auront droit à des réductions et des bonifiocations sur les achats effectués.

Dans la région, les produits alimentaires produits localement sont exposés, en vente à l’esplanade de la délégation régionale du commerce pour l’Adamaoua depuis hier matin. De l’huile végétale, au sucre en passant par le savon de ménage, les consommateurs de la ville de Ngaoundéré trouvent leur compte, ceci à des prix promotionnels. Le kilogramme de sucre vendu dans les boutiques à 800Fcfa dans les boutiques de  la ville de Ngaoundéré, est revu à la baisse à 750Fcfa. Les clients qui s’approvisionnent n’éprouvent pas de difficulté à emporter les produits achetés, ce d’autant plus que toutes les dispositions sont prises pour s’arrimer à la mesure gouvernementale visant l’interdiction des emballages non biodégradables. Le sucre est soigneusement emballé au préalable dans les plastiques biodégradables. D’où la satisfaction de la clientèle : « c’est une bonne chose pour nous les consommateurs. Les prix sont revus à la baisse et les vendeurs prennent le soin d’emballer ce que nous achetons avec des plastiques biodégradables.  Ce qui n’est pas le cas dans les boutiques et au marché lorsque vous vous rendiez. Nous voulons que cette initiative de la délégation du commerce, qui  nous aide toujours à chaque fois, se perpétue» se félicite Josiane, une ménagère rencontrée sur les lieux. Pour le délégué régional du commerce, Mohamadou Kavaye, cette campagne de promotion de la consommation des produits locaux s’inscrit dans la mise en œuvre de la politique gouvernementale, sous la haute instruction du Chef de l’Etat. Elle vise à inciter les camerounais à consommer les produits localement produits par les entreprises camerounaises. A cet effet, « la délégation régionale du commerce n’est qu’un facilitateur. Nous intensifions la sensibilisation à l’endroit des marchands et des consommateurs en organisant des marchés de vente promotionnelle des produits. Selon les instructions de la haute hiérarchie, chaque mois nous faisons la promotion d’un produit. Et pour ce mois c’est l’huile végétale et ses produits dérivés tels le savon, le sucre qui sont choisis » clarifie le délégué régional, avant d’ajouter  « c’est aux promoteurs de venter leurs produits pour susciter l’attraction des consommateurs. Et nous, nous les accompagnons. Nous avons des partenaires avec qui nous collaborons. Sosucam par exemple nous a livré le 14 Mai dernier, un important stock de sucre que nous avons déjà mis la disposition de nos consommateurs ». Il faut ajouter qu’au cours de cette campagne qui court jusqu’à la fin de ce mois de Mai, les consommateurs bénéficieront des bonifications. A chaque litre d’huile végétale achetée par exemple, ils ont droit à un savon. Une véritable aubaine pour les habitants de la ville et en particulier la communauté musulmane de Ngaoundéré qui, malheureusement  marque encore les pas sur place malgré la hausse des prix du carburant et du gaz .
                                                                                                                 Nikodemus Waibe Hinsia 

vendredi 4 juillet 2014

Ngaoundéré III : Mme le sous-préfet n'autorise pas la manifestation de la marche de soutient à Paul Biya contre les Boko-Haram


            Comme cela à été de coutume dans les régions du Cameroun avec la marche de soutien, l’arrondissement de Ngaoundéré IIIe n’a pas été autorisé à faire une motion de soutien au Président de la République Paul Biya pour son engagement de lutter contre la secte Boko Hara. Une marche qui devait mobiliser les cop’s de Dang et les autochtones après la réunion de sensibilisation initiée par les élites locaux et les chefs traditionnels. Mme Boukar Née Zeinapa Amada sous préfet de cet arrondissement ne signera pas l’autorisation de manifestation publique.
« La secte Boko Haram qui sévit actuellement au Cameroun, fait des ravages vient obstacle à notre développement. Voilà pourquoi nous avons voulu organisé cette marche pour faire bloc derrière le Président de la République pour la bataille engagée contre cet ennemi de notre nation » tel sont les propos du Dr. Louis Banipé. L’actuel délégué régional de l’élevage et de la pêche ; par ailleurs homme politique à eu l’idée d’une marche pour soutenir l’action de Paul Biya à en découdre avec la secte Boko Haram. Connaissant la place incontournable qu’occupe les étudiants, ce dernier à rencontré les étudiants qui ont cela favorable. Entre temps, comme d’habitude avant toute manifestation publique il fallait une autorisation de manifestation. Selon les récits de l’affaire, Mme le sous prefet à été avisé verbalement pour le dépôt d’une autorisation de manifestation publique d’une marche afin de soutenir l’initiative du président qui à déclarer la guerre à la secte Boko Haram. La demande était ce jour favorable, mais helas ; trois jours après la demande verbale grande à été la surprise du coup de fil de Mme Zeinapa qui à déclarer qu’il y aura pas de manifestation publique quelqu’en soit les cas. Une demande qui sera qu’a cela ne tienne déposé à la sous préfecture de Ngaoundéré IIIe.
Selon le contexte de  cette marche elle est apolitique. Elle devait réunir toutes les forces vives de la localité et s’achever par un culte œcuménique et une motion de soutien au Président de la République. Ainsi, la nouvelle de son annulation pour son autorité administrative est venu mettre fin à la fièvre des préparations. Rapproché de certaines élites et chefs traditionnels qui militent pour cette marche, ils n’ont pas apprécié le refus de Mme le Sous-Préfet, une décision étouffe l’initiative d’éradiquer les Boko haram. « Chaque jour quand on parle de Boko Haram, les chefs traditionnels sont indexés certains pire encore pensent que, nous sommes des partisans de ces voyous. Voilà que nous avions voulu manifester aujourd’hui notre détermination, pour dire au Président Paul Biya que nous sommes derrière lui mais hélas ! C’est impossible à cause de Mme le sous préfet » psalmodie un chef traditionnel dans le village universitaire. Selon la version du sous préfet, elle nie avoir interdit cette manifestation et avoue n’avoir jamais reçu une demande dans ses services. Mme le Sous-Préfet zainapa Amada manifeste son étonnement.
Si le président Paul Biya à déclarer la guerre lors du sommet des chefs d’états en France aux Boko-Haram qui pourrait être contre l’initiative. Le refus de signer l’autorisation de manifestation publique pour soutenir Paul Biya défait la chronique à Ngaoundéré IIIe, encourage t’elle cette secte ! Selon certaines indiscrétions le sous prefet serait manipuler par certains barrons du RDPC parce que l’idée de la marche n’émane pas d’un membre influent ce qui pose un problème. Pendant ce temps dans cette partie septentrionale du Cameroun il semblerait que le recrutement des jeunes dans cette secte Boko- haram se poursuit en raison de 1000000F au quartier Bamyanga.
                                                                                   Nikodemus waibe Hinsia

Société : La grève des conducteurs de taxi et moto-taxi rend la circulation difficile à Ngaoundéré

moto taximen

              Le 1er juillet dernier les conducteurs de taxi et moto-taxi sont entrés en grève à travers l'augmentation du prix de transport d'un client . En gros, ils protestent contre la décision visant à augmenter le prix de carburant. Cette décision visant pourtant à augmenter le salaire des fonctionnaires avec le gain qui émane. De son côté, le gouvernement tente de trouver une solution mais en attendant, c’est la queue devant les stations qui n'ont plus l'affluence comme avant tous se détournent au profit du zoua zoua. Les points de vente du zoua zoua poussent comme des champignons.
        La file d’attente est la même partout : très longue. Pour mettre quelques litres dans le réservoir de sa voiture, il faut des heures voir une journée entière. Du coup, tout le secteur est affecté car la circulation est complètement paralysée. La plupart des chauffeurs de taxi et de bus préfèrent garer les véhicules dans l’espoir qu’une solution rapide soit trouvée pour que la circulation reprenne son cours normal. C’est également le souhait de nombreuses familles qui, n’ayant pas d’électricité comme tout le monde, mettent chaque soir quelque litres d’essence dans le groupe électrogène pour regarder le journal télévisé mais aussi permettre à leurs enfants de voir leurs dessins animés. Mais comme toute crise, celle-ci profite bien à certain tels que les voraces aux gains illicites. Pendant que la population souffre, les spéculateurs se réjouissent. Le litre d’essence ou de gasoil peut se négocier, selon les endroits  . Heureusement, à l’issue de la rencontre qui eu lieu aujourd’hui entre le président du syndicat Dairou , un compromis a été trouvé et les chauffeurs reprendront ont décidé augmenter de 10 % le prix du transport des clients. « les conducteurs de moto-taxi et taxi ont exprimés leurs mécontentement en décrétant une grève, pendant trois heures ils ont refusé de porter les clients si rien n'est faite haussant aussi le prix du transport. Après une entente au niveau de la mairie de Ngaoundéré 2e on n'a pas pu s'entendre ! Beaucoup n'ont pas accepter la note du gouverneur interpellant les concernés à ne pas hausser les prix contre une sanction»
       Sur la nationale no1 conduisant à Dang, belle bourgade universitaire et bientôt, aller faire des courses en ville revient à 350F-400F au lieu de 250F. Après le lancement de taximen, c'est au tour des moto-taxis, d'augmenter le prix du transport , à quelques jours seulement des départs en vacances des étudiants de l'université de Ngaoundéré situé à 15km. Les étudiants qui protestent contre les moyens insuffisants dégagés par le nouveau plan de transport sont mis de coté par les conducteurs de taxis. «  vraiment nous sommes dépassés, tout va mal ; pour aller en ville si on a pas 1000F c'est pas possible de se déplacer » psalmodie Celine Wawa, étudiante à l'université de Ngaoundéré . Toutefois, signalons qu'un autre mouvement, lié à une autre réforme initiée par les syndicalistes , menace aussi les transports. C'est celui des attaquants . Ceux-ci protestent contre la hausse du prix du précieux liquide qui touche les conditions de son obtention précieux qu'il soit il. Les contrôles de prix risquerait être confiés à des sociétés privées si on ne fait pas attention. Rapproché du délégué régional du transport , aucune déclaration n'est à faire pour l'instant l'ordre viendra d'en haut. Les syndicats redoutent à terme une privatisation pure et simple du dispositif et demandent l'annulation de la hausse des prix .Déjà, fin juin , début juillet des opérations escargots avaient été organisées en région sans commentaire. Quant à la durée de cette riposte ; elle est indéterminée celle-ci pourra être levée quand la hausse des prix va revenir au galop.
                             Source journal La Météo Nikodemus waibe Hinsia