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vendredi 25 octobre 2013

Extrème nord: Guidiguis, une ville à découvrir avec sa traditionnelle fete du coq qui se célèbre chaque après Noel de l'année.



             Avec une superficie de 427km carré , une population de 43000habitants soit 100,70habitants au km carré. Cette population est composé de Toupouris , Foulbés, Moundang et autres ethnies minoritaires. Ceux-ci ont pour obédience religieuses le christianisme , l'Islam et les pratiques traditionnelles. Avec un sol argilo-sablonneux; la population y pratique la culture des céréales , et la culture du Niébé, arachide , sésame et le manioc. La seule culture industrielle est le coton.Non loin de là, on trouve l'usine de la  SODECOTON .
                         En ce qui concerne sa carte sanitaire, elle est dotée d'un hopital  de district autour duquel gravitent 06 centres de santé intégrés dont un est en construction. La région manque de structure sanitaire privée. Guidiguis régorge au niveau de l'enseignement primaire 13500 élèves, 185 enseignants, 3025 élèves au sécondaire suivi par environ 30 enseignants seulement.La culture est la prémière richesse de la commune avec la danse "Gourna", "waiwa( danse des fetes de coq) pratiquées par les Toupouris , Gandjal pratiqué par les foul
bés et la lutte au clair de lune sont des ressources culturelles de la région.
   La commune de Guidiguis à plusieurs réalisations dans son plan de campagne. Ainsi, on à notamment ; la dotation en salle de classe et table bancs( lycée de Doubané, EP de Dangmiguiri,Patalao, Pakama et de Golondéré) puis une remise de quelques paquets minimums à l'inspection de l'éducation de base. Elle a aussi inclus des points d'eau de forages dans certaines localitées . Par, la commune de Guidiguis avec une équipe procède de temps en temps à des campagnes de sensibilisation sur le sida, choléra, Hygiene et salubrité, vaccination polio .

                                                                                                                        Nikodemus waibe Hinsia

mercredi 23 octobre 2013

Ngaoundéré : Un nouveau film soumis à l'appréciation des abonnés du cinéma




           Entre les études , l'amour et la passion ce film de Madjimbe Mimo Iverson intitulé « Les Campusards de Ngaoundéré » se vend comme des petits bouts de pain sur le marché cinématographique.

              Ce film relate la vie des étudiants de l’ensemble de la sous région (CEMAC) qui font face aux vicissitudes de la vie quotidienne sur le campus (gestion des difficultés académiques, d’intégrations et égarement entre passions et études). CEDRIC, l’acteur principal de ce film, est un jeune réservé, passionné et pleins de bons sens. Sa première année sur le campus est bien mouvementé par une série de belle et de drôle d’histoire ; jeune garçon timide, nul en mathématique et passionné de la musique, il tombe fou amoureux de Ivana, une jeune étudiante de son département. Les choses ne seront jamais facile pour notre héro mais heureusement que Frank, son meilleur ami est toujours présent pour lui prodiguer des conseilles accès sur le système de vie danoise. Il faut dire que même si CEDRIC fini en pleur parce que l’amour s’est rebellé contre ses sentiments, néanmoins, il a appris quelque chose de nouveau sur la perception de la vie estudiantine. IVANA, actrice principale, également étudiante en département de sociologie, elle mène une double vie. Calme, attentive et compréhensive, elle est assimilable à l’eau douce qui est la plus dangereuse. L’on ne dira jamais assez de son attitude innocente ; très confuse dans ses sentiments, elle ne parvient pas à faire la distinction entre l’amour et le désir. Beaucoup des cœurs seront brisés à cause d’elle. Dieu seul sait si elle pourra recoller les morceau . Celui- là qui a mis des petits plats dans les grands est le Dr Wounfa Jean Marie . Cette mise en scène à été écrite par ce comparatiste de renom dans cette partie septentrionale du pays. Ce film à été produit avec le concours de la station Crtv Adamaoua parmi les quels Laminou Tilimdou et Abraham Mayagui. Charles Ndimoya à donner des touches particulières en sa qualité de réalisateur de ce film. Lors de la soirée de dédicace, ce film à impressionné le public venu assister à cette dédicace. Une manne qui vient tomber à pic quelques mois après la promesse de la construction d'une salle de cinéma à l'Adamaoua par le ministre des arts et de de la culture lors d'une éventuelle visite.

                                                                                    Nikodemus waibe hinsia

A QUI LA FAUTE ?



C’est l'histoire d une jeune fille appelée KATY. Elle avait trois ans lorsqu’elle perdue sa mère, et vivait avec sa nourrice qui la faisait voir de toutes les couleurs; plusieurs années passèrent et KATY atteint l’âge de puberté .c’est ainsi qu’elle a fait la rencontre d’un jeune et irresponsable garçon appelé Alex .Deux ans plus tard KATY tomba enceinte et Alex s’enfuit Après avoir annoncé la nouvelle horrible a sa nourrice celle-ci l’expulsa de la maison .elle eu faire la rencontre d’un jeune homme peu âgé; de grande taille ; riche et attentionné. Celui ci l’hébergea pendant cinq mois jusqu’au moment ou elle enfanta une jeune petite fille appelée VIVIANE. Cinq années s’étaient écroulées lorsque KATY réalisa qu’elle était amoureuse de son tuteur et finit par lui avouer son amour. Et comme « l’amour est un tyran qui n’épargne personne » ce dernier finit par céder. Et tous trois formèrent une famille .Tout comme sa mère VIVIANE atteint aussi l’âge adulte. Elle eu des désirs charnels et fit également la rencontre d’un homme âgé, d’une taille d’homme, beau et très riche : c’était son père. Les deux amoureux ne sachant pas leur identités sont aimes jusqu'à se promettre ciel et terre. Les deux conjoints fixèrent la date du mariage. Et le conjoint décida d’aller faire part de leur projet de mariage. Pendant ce temps VIVIANE alla annoncer la venue de son amant a ses parents .Ceux ci se préparèrent en vue de recevoir leur beau fils. Arriva donc le moment ou l’amant devait arriver. Il frappa la porte et le papa lui fit signe d’entrer et de s’asseoir. Pendant ce temps, la maman elle était dans la cuisine .Le papa fit signe a VIVIANE d’appeler sa mère. Elle ne tarda et courut dans la cuisine pour annoncer la bonne nouvelle. C’est ainsi qu’elle se précipitât pour le salon. Lorsqu’elle entra au salon celle-ci devint subitement nerveuse. Seul l’amant et elle savaient de quoi il s’agissait. Elle fit signe au monsieur de sortir. C’est alors sa fille lui demanda ce qui se passait. Elle lui révéla toute la vérité et celle-ci s’évanouit. Tous devinrent malheureux et il n’eut plus mariage.
                                                                                           Nikodemus Waibe Hinsia

ADAMAOUA : Bras de fer entre le délégué régional du Commerce et ces Contrôleurs de prix.



       Deux contrôleurs de prix de cette délégation régionale accusent Mohamadou Cavaye, délégué régional du commerce d’arnaquer les commerçants et former des clans au sein de la délégation régionale. Délégué régional du commerce, chef de brigade et quelques personnels complice indexé du doigt accusateur d’arnaqueur et de détournement de derniers publics.

       Ils ont adressé une demande d’audience à monsieur le gouverneur de l’Adamaoua. Le bras de fer continue son petit bout de chemin entre le délégué régional du commerce et son personnel. Ils souhaitent à tout prix voir Mohamadou Cavaye payer les pots cassés. De façon concrète, quelques personnes de la délégation régionale et des commerçants se disent victime, d’un certain nombre de délits. Pour ce qui est du lieu de service; l’abus de fonction figure en bonne place, les affectations disciplinaires arbitraires des contrôleurs de prix par clan, les faits des menaces de licenciements au personnel.
                                                  Les faits
            Deux contrôleurs de prix et des agents de ladite délégation soupçonnent le délégué régional d’expert en arnaque des commerçants avec la complicité du chef de brigade et certains contrôleurs du « réseau de la mafia ». « Tout part d’un contrôle inopiné organisé par les services de la police judiciaire qui est arrivé au niveau du grand marché et ont constaté le cas d’arnaque organisé par les contrôleurs du clan du délégué. 48h après, ces derniers ont été convoqués au niveau de la police judiciaire pour besoin d’enquête approfondie. Pendant cette enquête il y a des documents qui sont sorties avec nos noms. La situation actuelle, le délégué a jugé masquer ces complices en donnant nos noms à la police judiciaire pour dire que nous sommes les arnaqueurs. Il nous a dit qu’on à trahi le secret professionnel, son objectif est de nous faire partir. On ne devrait pas réagir » souligne OBAM Blaise contrôleur adjoint de prix, poids et mesure à la délégation régionale du commerce de l’Adamaoua.
                  Pire encore, selon les textes ministériels de service, le délégué régional doit afficher au babillard les notes de services, les affectations, mais ce dernier ne publie que les demandes d’explications et de sanction. Par cet acte, il viole ainsi si on se rappelle bien l’article 130 du code du travail au sein de la délégation régionale du commerce de l’Adamaoua. Quelques fois, nous rapportent certains agents ; le refus d’exécuter les instructions de la hiérarchie en faveur de son personnel employé se fait de bouche à oreille entre le clan « Cavaye » ou « amis de Cavaye ». La discrimination sociale figure en bonne place. Pendant ce temps ils n’attendent que leurs licenciements avec des larmes aux yeux si rien n’est fait. 
                                              États des lieux 
 
Côté arnaque, un tour au marché de Bamyanga et l’avenue Texaco certains commerçants victimes se plaignent et d'autres accusent plutôt . « Certains agents et contrôleurs de prix nous prennent 5.000 FCFA sans un reçu en retour, un constat fait le fiche a le même numéro identique. Près de plus de 1.000 commerçants ont été arnaqués, imaginez vous-même combien de milliards sont dans leurs poches». Un commerçant qui a gardé l’anonymat mais espère bien que justice sera faite à quelques jours du début du ramadan. Rapproché du N°1 du commerce dans cette partie septentrionale du pays, il raconte sa version de fait : « Je suis malheureux parce que je suis incompris, en fait cela fait deux ans aujourd’hui qu’au sein de la délégation régionale je fais face à deux arnaqueurs de catégorie une. Il s’agit d’OBAM Blaise et NKONDENG Richard Daniel, vraiment ils salissent mon image à l’extérieur. Puisque j’ai fait le constat, j’ai décidé ne plus les envoyer sur le terrain voila pourquoi ils ont vu que j’ai arrêté une activité d’arnaque. Ces « bandits » puisque je les appelle ainsi, quelques fois ils passent toute la nuit à boire au Maraba bar d’où cet argent ? Dites moi, ces deux bandits font 30km à marcher pour prendre 5000fcfa que dire de plus. C’est mon personnel qui arnaque par l’au truchement des deux bandits que j’ai relevé au début de mes propos ».
Pour NKONDENG Richard Daniel, agent de constatation des prix, il défend sa cause : « quand nous avions découvert d’arnaque mis sur pieds par le délégué régional du commerce, celui-ci nous a menacé «  je vais jouir de tous les moyens et relation pour vous relever du travail » alors comme ont a été l’ultimatum du délégué et peur de perdre notre boulot. Nous sommes allés le dénoncer à la police judiciaire, nous avions dévoilé. Un jour ont a posé la question au protégé du délégué pourquoi il utilise les faux documents ? Celui-ci est allé dire au délégué qui m’a sanctionné en ce sens que mon nom ne figurait plus dans les notes de service. Puisque la Police Judiciaire a auditionné tout le personnel de la délégation, nous avons été accusé d’avoir détourné les derniers publics ». Pourtant c’est le réseau d’arnaqueurs qui distribuait des fiches contre une somme de 5.000 FCFA que le délégué et le commandant de brigade se remplissaient les poches depuis deux ans. Quand on sait que l’Adamaoua a beaucoup de commerçants, inventorions-nous même, on verra combien de millions sont dans les caisses personnelles de ces derniers arnaqueurs de classe exceptionnelle.
                                   POLICE JUDICIAIRE

Où sont passé ces deniers publics ? Tout reste encore à vérifier. Dans les services de la police judiciaire rien à signaler, on garde encore l’anonymat. Bientôt sa sera la fin des auditions du personnel de cette délégation ; les masques vont tomber, pour l’instant on garde le secret professionnel en attendant les derniers mots du procureur de la région de l’Adamaoua.
Malheur à celui qui sera pris la main dans le sac «  nous n’avions encore rien à dire pour l’instant le moment viendra » répond l’officier chargé de cette enquête. La chasse aux arnaqueurs est lancée, la police judiciaire vient ainsi s’accommoder à l’opération épervier cheval de bataille du président de la république pour éradiquer les détourneurs de fond ou derniers publics et les arnaqueurs. Certes la chèvre mange là où elle est attachée mais quelquefois elle meurt là où elle est à cause de l’abus de la nourriture. Le bras de fer se poursuit à la délégation régionale du commerce en attendant les conclusions de la police judiciaire pour donner le coup de final des sans foi ni loi, la délégation régionale du commerce. Dans les artères de l’Adamaoua, cette épineuse affaire de détournement des fonds et d’arnaque défait le quotidien des conversations. En attendant le verdict des auditions qui de OBAM Blaise et NKONDENG Richard Daniel ou Mohamadou cavaye sera derrière les barreaux ? Affaire à suivre...
                                                                Nikodemus Waibe Hinsia

Activité des photographes sur le campus de dang



            Des chasseurs d'images proposent leurs services aux étudiants au sein de cette enceinte universitaire. Une photo mon ami ! C'est par ici les bonnes photos !». Ce sont là quelques unes des expressions que des photographes installés sur le campus de Dang utilisent lorsqu'une personne se dirige vers eux. De fois, ils se ruent avec leurs appareils photos en main, en direction du client. C'est une vraie séance de marketing en ce moment là. Et c'est la même ambiance tous les jours, du lundi au vendredi. Chaque photographe propose ses services, qu'ils qualifient de «meilleur et rapide», ce qui met le client dans un embarras de choix. Certains clients timides se font même souvent brutaliser par ces derniers. Nadège se souvient encore de la scène où ses lunettes se sont cassées. Et pour elle, c'est de la faute des deux photographes qui la tirait de part et d'autres. Il est difficile donner avec exactitude le nombre de photographes installés sur le campus de l'université de ngaoundéré. On les rencontre dans tous les coins où les étudiants ont l'habitude de se rassembler. La plus part d'entre eux se sont installés en face du decoux et d’autres derrière. Certains sont en face du Centre des calculs. Et d'autres en face du rectorat et de la cité universitaire. Parmi ces photographes, il y a ceux qui sont installés là-bas depuis quinze ans.


          C'est le cas de SALI, l'un des premiers photographes sur le campus. C'est toujours avec la même passion qu'il fait des photos. Bien qu'il exerce ce métier depuis plus de dix ans, rien n'a changé dans son industrie. Il est toujours assis sur sa même chaise et utilise ses mêmes appareils, hormis l'appareil photo numérique qu'il s'est acheté tout récemment.

         Des demie cartes photos 4x4, des photos entières avec des dimensions de 10x15 et de 10x25, se là les types de photographies qu'offrent les photographes présents sur le campus de DANG. Selon John, «c'est le genre de photo qui intéresse plus les étudiants». Le prix d'une photo varie entre 350 et 1000 francs. Il n'y a pas que les étudiants qui se rendent là-bas. On y rencontre également des enseignants et des responsables de cette université. Ceux-ci invitent d'ailleurs ces photographes pour la prise de vue dans des cérémonies qu'organise l'institution.
Selon Sali, pour s'installer sur le campus, ces photographes «ont du payer une caution au rectorat». Certains photographes se plaignent d'ailleurs de ce que chaque recteur qui arrive dans cette institution leur demande de payer une nouvelle caution. Mais tous ces photographes restent aphones quant à la somme qu'ils déboursent pour ladite caution. En plus de ladite caution, ils versent «une certaine somme par mois au rectorat, en guise de frais de location» des lieux qu'ils utilisent. Tout compte fait, «la photographie se vend bien sur le campus de Dang», déclare Cameroun.

                                                                Nikodemus Waibe Hinsia

Ngaoundéré : Un marabout neutralise un serpent-boa sur le campus de Dang




          Le rond point allant vers le restaurant de l'université de Ngaoundéré à servi de cadre ce dimanche 20 octobre 2013. Un serpent de 3,5m de long à été neutralisé de justesse par un homme devant des étudiants apeurés.

            « je rentrais de la radio campus autour de 9h du matin, soudain ; j'ai aperçu un gros serpent boa sur mon chemin. Le serpent était coucher sur le rond point allant vers le campus, à zéro mètre de l'espace des photographes » souligne Abba Abakar animateur-radio. Le campus de Dang est devenue une jungle ou on ne peut passer une semaine sans trouver un serpent. Ce jour, c'etait du venez voir : «  le serpent boa est passer devant mon atelier photo , comme j'avais peur je suis rester comme une statuette » s'exprime Cameroun, photographe. Selon certains sources ; ce serpent boa est une personne , faute d'echec à certaines résolutions. Il s'agirait d'un homme qui s'est transformée en serpent-boa. Un étudiant ayant vécu la scène raconte : «  j'ai essayer de viser avec un caillou , le serpent soulevait sa tete pour voir qui l'a visé.

      Dans son regard, c'etait bizarre ces yeux. On dirait les yeux d'un humain désespéré. Pire encore, le caillou n'avait aucun éffet sur lui ». Pris de peur , rempli de panique ; tout d'un coup un marchand accompagné de sa femme se rendait au marché de Dang. Cest alors que le monsieur s'arreta pour demander ce que sait , quand il vit le serpent il cria « laissez , je vais parler avec lui !». «  Serpent-boa, tu fais quoi ici à l'université ? Couche toi, je vais chercher une branche ». dialogua t'il avec le serpent. «  il à commencer à chanter, puis parlais encore au serpent. Puis il à mis le serpent au cou et s'en est allé avec ce dernier» rapporte Jean Marcel Wanie tout en tremblant. Le campus de Dang est devenue la cour du roi Petaud, toute espèce passe et repasse comme il veut. Il ya quelques mois, se rappèle Awalou ; il à été mordu par un serpent. Il aura la vie sauve, grâce à la présence du centre médico-social de l'université. Parvenu ce jour à la quatrième semaine de la rentrée académique ; on risquerait retrouver des reptiles en provenance du lac de Dang aller dans les amphis.

                Pour certains, on accuse le lac de Dang, situé non loin du campus. La présence des herbes semblable à une savane herbacée sur le campus en dit long. Le campus de Dang est il reservé aux étudiants ou aux reptiles ? Seul la ,présence sur le campus determinera la réponse.

                                                                                 Nikodemus waibe Hinsia

NGAOUNDERE : Il ya pas de texte spécifique sur l’avortement !



Me ETONDE EKWE SAMUEL, chef SAAF, greffier principal auprès du tribunal de première instance de MEIGANGA nous explique .
 
               Qu’est- ce que l’avortement ?

Bien qu’il n’existe pas de loi, on peut, à la lumière de la religion, avancer qu’il y a ‘’avortement’’ chaque fois que par un procédé artificiel quelconque, la grossesse se trouve interrompue, peu importe l’âge de la grossesse, peu importe les moyens employés ; l’intention coupable doit être caractérisée.

                  Existe- t-il une loi sur l’avortement ?

Aucune. Pas de textes spécifiques sur l’avortement. Le législateur, par le biais du code pénal stipule uniquement que l’avortement est une infraction pénale passible au terme de l’article 337(1), d’un emprisonnement de 15 jours à 01 an et d’une amende allant de 5000 à 200.000 ou l’une de ces peines seulement.
 
             Quelle loi existe-t-il pour les coupables d’avortement ?

L’article 337 du code pénal punit les auteurs et complices dans les dispositions suivantes :
*Alinéa 2 : est punit d’un emprisonnement de 01 à 05 ans et d’une amende de 100.000 à 200.000 FCFA, celui qui, même sans son consentement procure l’avortement a une femme.
*Alinéa 3 : les peines de l’alinéa 2 sont doubles :
a) à l’encontre de toutes personnes qui se livre habituellement a des avortements
b) à l’encontre d’une personne qui exerce une profession médicale ou en relation avec cette profession
*Alinéa 4 : la fermeture du local professionnel et l’interdiction d’exercer la profession peuvent également être ordonnées dans les conditions prévues par la loi. Le non-respect de cette interdiction fait l’objet d’un emprisonnement d’une durée de 06 mois à 02 ans au plus et d’une amende de 1.000.000cfa ou de l’une de ces deux peines.
En dehors de l’interruption volontaire de grossesse(IVG) qui est tolérée par la loi pour des soins thérapeutiques, c’est- à- dire lorsque la grossesse menace la survie de la femme ou lorsqu’il y en a viol (prouve).Il y a pas de texte, je le disais tantôt, spécifique sur l’avortement.

Un dernier mot à ceux qui ont encore cet envie d'avorter ?

Je dirais que l'avortement n'est pas bien , en le faisant on peut perdre la vie du fœtus et de celle qui subit. Il faut le dialogue entre les partenaires , les parents des jeunes filles doivent les comprendre. Les centres de promotion de la femme et de la famille sont en l'écoute de ces filles, les centres sociaux n'en parlons plus. En fait toutes les dispositions sont justes à coté des ces victimes , il suffit à ces personnes de se rapprocher.

                                         Propos recueillis par Nikodemus waibe Hinsia

Discours du representant des étudiants lors de la campagne électorale du RDPC


Monsieur le Président de la commission communale,
Honorable Député ;
Monsieur le Maire de la commune de Ngaoundéré 3ème ;
Monsieur la tête de liste du RDPC au municipal;
Chers Camarades candidats conseillers municipaux ;
Chers Etudiantes et Etudiants;
Mes        dames et Messieurs ;
Distingués Invités,
En ce jour solennel du 25 septembre 2013, où nous accueillons le Comité du RDPC dans notre secteur Bini-Université, pour marquer ce grand événement tant attendu par les Etudiants de l’Université de Ngaoundéré, qui ne cessent d’exprimer leur joie et leur fierté de la présence de l’un des leurs sur la liste du RDPC aux élections municipales du 30 septembre, permettez-moi de vous souhaiter la bienvenue dans le milieu estudiantin.
Je saisis également l’occasion pour remercier le Chef de l’Etat son Excellence Paul Biya pour le grand intérêt qu’il porte à la jeunesse camerounaise. Pour s’en convaincre, il suffit de voir la création des emplois, le recrutement des 25000 jeunes dans la fonction publique, le décret portant création des établissements primaires et secondaires, l’octroi des bourses d’excellence académique, la création de l’Ecole de Géologie d’Exploitation Minière, pour ne citer que ceux-là.
Nous ne pouvons passer à côté de cette occasion sans toutefois faire allusion au discours du Chef de l’Etat, le grand bâtisseur, son Excellence Paul BIYA, du 10 février 2013 qui illustre davantage ce grand intérêt pour la jeunesse camerounaise que nous savons tous, pour emprunter le mot du Chef de l’Etat, que la jeunesse est le fer de lance de la nation.
Nous, étudiants de l’Université de Ngaoundéré, sommes tous derrière le Président de la République, Président national de notre Grand Parti, le RDPC. C’est pourquoi, nous nous sommes retrouvés en cet après-midi pour exprimer le soutien que nous apportons aux Représentants du Parti aux législative, l’Honorable ALI BACHIR, et municipale, ISHAGA DAOUDA.
Je chute en disant ceci, nous sommes tous prêts à entrer dans le train de l’émergence et pour ceux qui ne le sont pas encore, nous vous invitons dès maintenant à prendre ce train dont le pilote est le Chef de l’Etat, le grand bâtisseur, son Excellence Paul BIYA.
Vive l’Université, vive l’Arrondissement de Ngaoundéré 3ème, vive le RDPC, vive Son Excellence Paul BIYA.
M. GRING ZIGLA

GAROUA : Aminatou Ahidjo sera bienvenue, parce qu’elle rentre chez elle à Garoua.


            Dans un entretient avec Youssoufa Daoua, Président de la Section Rdpc Bénoué Centre I, celui-ci à déclaré que la fille de l'ancien président est vivement attendu à Garoua sa ville d'origine. Toutes les élites sont mobilisés pour l'accompagner pendant les deux semaines de sa campagne électorale pour assurer une victoire du RDPC.

            Comment se porte le Rdpc dans la section Bénoué Centre I dont vous dirigez ?

            Le Rdpc dans la section de Bénoué Centre I se porte bien. Je viens de faire le tour des trente sous sections que compte cette circonscription, je suis allé vers les responsables à la base. J’ai rencontré les présidents de sous section, des comités de base et des cellules de base des trois organes du parti confondu. Nous sommes rassuré car la base existe, elle est prête à nous accompagner à la victoire du Rdpc au soir du 30 septembre prochain. 
 
           Vous dites que vous êtes rassuré mais l’on a constaté il y’a quelques jours la démission massive de vos militants pour rallier l’Undp, Monsieur le président y’a-t-il malaise dans les rangs ?

            Non. Entendons-nous très bien. Nous étions les premiers à accueillir les militants de l’Undp qui ont rejoint le Rdpc. Vous vous rappeler du meeting de la section Rdpc Bénoué Centre II qui s’est tenu à la résidence du Secrétaire du Minduh, Amadou Sardaouna au mois de juillet ? Lors de ce meeting, le Rdpc a accueilli les présidents des sous sections de l’Undp et leurs militants ainsi que quelques conseillers municipaux du parti. Dont c’est peut être une réaction normale que l’Undp a manifesté pour nous dire que eux aussi, ils ont accueilli nos militants démissionnaires du Rdpc. Alors rien n’est de tout cela. Le gars qu’ils ont présenté (un certain Wadjiri alias Sadate ndlr) n’a jamais été responsable d’une sous section, même pas d’une cellule. Quand il dit qu’il a rallié avec lui plus de quatre cents militants ça veut dire que ce sont tous les militants de la sous section Kanadi qu’il a pris. Alors que moi je suis allé à Kanadi, j’ai rencontré les jeunes, tous les présidents des quatre sous section que compte ce quartier. Mais aucun président de sous section n’a démissionné. Ça peut être une manœuvre de déstabilisation. Cela ne nous dit rien. Leur objectif était de déstabiliser le Fsnc avec les membres de la famille d’Issa Tchiroma Bakary. Le jeune qui avait récemment démissionné de l’Undp et a rejoint le Rdpc, c’est le même gars qui allé reprendre la parole pour dire qu’il est de retour à l’Undp. Alors ce n’est pas une manœuvre de certains jeunes délinquants comme lui, en quête d’intérêts personnels, qui veulent manipuler leurs camarades ? Je me demandé s’ils n’ont pas trompé l’Undp ? Quant à nous attendons le verdict des urnes du double scrutin du 30 septembre prochain pour déterminer s’il y’a démission au sein du Rdpc.

          Et si c’était des manœuvres comme vous dites si bien, qui selon vous seraient derrière tout cela ?
            Ce sont les responsables de l’Undp. Vous avez bien vu que la réunion a eu lieu à la résidence d’un membre du gouvernement qui est ambassadeur itinérant, par ailleurs membre du bureau politique de l’Undp. Tous les membres du comité central du parti étaient certainement là. C’est eux qui ont organisé cette mascarade. 
 
            L’écho de cette démission qui a couru dans toute la ville de Garoua, n’a-t-il pas entamé le moral de vos militants ?
Pas du tout. Les militants du Rdpc ne fient pas au bruit des oiseaux de mauvais augures. On connaît très bien les responsables de l’Undp est leurs différentes manouvres. Personne ne peut croire à ce qu’ils disent. On se côtoie depuis des décennies. Ce bruit n’affecte en rien le moral, ni même la ferveur du militantisme de nos camarades. Nous allons aller aux élections avec deux poids lourds de l’opposition. Il s’agit de Saidou Maidadi pour l’Undp pour les législatives et le ministre Issa Tchiroma Bakary du Fsnc qui est candidat pour le poste de député et à la mairie de Garoua I dans la circonscription de Bénoué-Ouest. Et à y regarder de près, aucune circonscription au Cameroun n’est dans cette posture. Tchiroma est membre du gouvernement là bas à Yaoundé, il a signé je ne sais quoi avec notre président, mais ici à la base je sais qu’il est un opposant. Je défends le Rdpc, et lui il défend le Fsnc. Les électeurs ne vont pas lui donner l’opportunité. Quant à Saidou Maidadi, c’est un transfuge de l’uN il n’a jamais vécu à Garoua et ça ne sera pas facile pour lui.

            L’ombre de certtaines élites Rdpc du Nord incarcérés plane avec des dissensions internes au sein de votre parti entre les pro et les anti. Cela ne constitue t-il pas déjà le ventre mou de votre parti pour cette bataille électorale ? 
 
              Attention, les arrestations qui ont eu lieu n’ont pas seulement touché les fils et filles de la Bénoué, ni de la région du Nord. Il y’en eu partout au Cameroun, dans les régions du Sud, du Sud Ouest, du Nord Ouest etc. Cela n’a pas empêché les militants du Rdpc de travailler. Ce sont des problèmes qui ne sont pas nos préoccupations et celles de nos camarades. Nos militants sont sereins. Et j’en veux pour preuve la victoire du Rdpc lors des sénatoriales dernières. Tout ce que nous on peut faire c’est de prier pour ces élites, car ce sont nos amis, nos frères et nos parents. On a droit de se lamenter de leur arrestation. Le Président Biya est clément, avec son humanisme on espère, qu’un jour elles puissent retrouver leur liberté. Elles sont toutes les grands militants du Rdpc. Nous gardons notre sang froid en espérant qu’un jour l’affaire soit réglée.

       Aminatou Ahidjo vient d’annoncer son adhésion au Rdpc comment la nouvelle est accueillie à Garoua ?

                   Aminatou Ahidjo est allé vendredi dernier au comité central rencontré le Secrétaire Général Jean Kuété, entouré de son staff. Elle a déclaré qu’elle est revenue pour militer au Rdpc. C’est une bonne nouvelle que nous avons bien accueillie ici à Garoua. Elle a dit qu’elle apprécie le programme de ce parti et elle compte battre campagne popur les législations et les municipales prochaines. C’est une militante de plus qui s’ajoute dans nos rangs, et ps n’importe laquelle surtout que c’est la fille de l’ancien président. Nous l’attendons comme elle a déclaré venir ici pour acquérir sa carte. Elle est la bienvenue, parce qu’elle rentre chez elle à Garoua.

            Elle entend battre campagne à vos côtés pour les élections couplées du 30 septembre prochain, qu’attendez-vous d’elle?

            Nous attendons d’elle des idées innovantes pour l’amélioration des conditions de vie de nos populations. C’est ça qui constitue la véritable préoccupation des candidats Rdpc pour les pour le double scrutin prochain. Nous à la base nous avons déjà commencé à réveille nos militants. Elle va venir ajouter un plus sur ce qui a été déjà fait. 
 
      Comment analyser vous son adhésion au Rdpc ce d’autant plus que sa famille est acquis à la cause de l’Undp ?
C‘est vous qui percevez que la famille de l’ancien président est d’office de l’Undp. L’Undp est née quand Bello Bouba Maigari était de retour au Cameroun après son exil au Nigéria, suite à la loi d’amnistie qui a permis aux exilés politique de renter au pays. C’est lorsque Bello regagne le pays qu’il commence à animé ce parti. En ce temps il n’était pas rentré avec un fils du président Ahidjo dont la famille résidait au Sénégal. C’est lorsque le premier fils de l’ancien président décide de rentrer au pays, il s’aligne à l’Undp. Vous, voyez qu’il y’a aucun lien entre la création de l’Undp et la famille de Ahidjo. Alors que le Rdpc est né des cendres de l’Unc, créé par le président Ahmadou Ahidjo. C’est peut être au regard de ce lien historique entre l’Unc-ancêtre du Rdpc- et son père, que Aminatou Ahidjo aurait décidé de rejoindre les rangs du parti des flammes après son retour au Pays.

                                                          Entretient réalisé par Nikodemus Waibe Hinsia




Agriculture : Après les inondations de l’année dernière à qui profite la hausse des prix dans le Grand Nord Cameroun?



            Les prix du mais et des céréales en général flambent dans le grand Nord Cameroun et les agriculteurs en beneficient de façon inégale.

         Le mais se vend a prix d’or.Un consommateur qui achetait autrefois le sac de mais à 10000f il ya un an l’achète aujourd’hui entre 16000f et 20000f, alors que l’office ceréalier dispose d’un important stock. Quant au mil ; son prix à pratiquement doublé depuis le début de la saison pluvieuse qui n’existe que de nom. La liste est longue concernant les produits alimentaires dont les prix flambent ; et le coup s’avert rude pour ceux du Centre et du Sud Cameroun. Un sac de mais quittant du Nord au Sud revient à environ 20 à 30000f le sac de 100kg ; voila pourquoi, la population consacre une grande partie de son budjet à l’alimentation.
                A tel point que cette envolée des prix figure parmi les principales préoccupations de la délégation du commerce pour le Nord. Celle-ci ; y voit un risque majeur de destabilisation de l’economie dans le Nord et un possible détonateur de crise sociale. « Les agriculteurs veulent à tout prix recuperer leur pertes des inondations dernieres» Tchuemkem olivier agent de commerce. Cette hausse des prix du mais et des céréales sur les marchés septentrionales à été causé notamment par les incidents de l’inondation qui ont réduit les récoltes, alors que la demande ne cesse d’augmenter. Pire encore, on note la fermeture des frontières Cameroun et Nigeria à l’origine du spectre à cause de la secte « Boko Haram ». Tous ces facteurs sont bien entendu à mettre en rélation avec l’origine de la flambée des prix du mais et des céréales sur le marché.
        La chereté des produits importés pourrait profiter aux agriculteurs locaux dont les produits deviennent conccurrentiels. Au nord Cameroun, pour atténuer la hausse des prix du mais et du mil sur le marché ; la mission de régulation et d’approvisionnement de marché public ne cesse de multiplier les ventes promotionnelles. Le délégué du commerce quant à lui n’était pas en reste : « nous avions envoyé nos agents sur le terrain pour atténuer la situation» . Plus généralement ; constate Dominique Gerard du PAM : « pour rémedier à ce probleme, le gouvernement Camerounais devrait octroyer des financements à ces agriculteurs victimes de cataclysmes ».
                                                                                     Nikodemus Waibe Hinsia






ADAMAOUA : La gestion de la commune pose le problème de 10% et de corruption


                 Bobbo Saliou : Maire de Ngaoundere 1er essaie de nous faire le bilan de son mandat qui est arriver à sa révérence. La commune de Ngaoundere 1er est née il ya environ trois ans suite à l'eclatement des communes à la veille des législatives et municipales de 2011.
OÙ est limitée la commune de Ngaoundéré 1er ?

            L'arrondissent de Ngaoundere 1er est à cheval entre la zone rurale et la zone urbaine. La commune de Ngaoundere 1er est limitée par certaines communes telles que Ngaoundere 2ème, la commune de Nyambaka, Martap et Belel. C'est un héritage de l'ancienne commune rurale qui désormais n'existe plus. Elle bénéficie de plusieurs atouts géographiques tels que le mont Ngaoundere qui donne le nom du chef lieu de la région, le fleuve vina qui donne le nom chef lieu du département.

         Quels bilan faites vous après trois années passer à la tête de la commune de Ngaoundere 1er ?
           En trois ans, notre commune à eu à réaliser : sur le plan sanitaire, la commune de Ngaoundere 1er à dans son programme un centre de santé à l'etat embryonnaire qui devra naitre dans les années avenirs du coté de Bamyanga. En agriculture, on a crée des champs forages dans certains villages. Ceci à permis aux éleveurs de ne plus faire certains déplacements pendant la période de transhumance. L'appui du PNDP est venu ici réduire les couts que la commune devait supporter pour ce projet. Enfin, sur le plan sportif, nous organisons des championnats de vacances chaque année ce qui nous distingue d'ailleurs des autres communes puisque nous sommes les seuls à le faire pour l'instant.

       Quand on sait que la perfection n'est pas de ce monde, nous sommes tenter de vous demander quelles sont les difficultés phares que vous aviez rencontrer ?

       Compte tenu de l'incivisme fiscal qui à élu domicile dans notre pays, la mauvaise situation économique de notre ville est la première difficulté. A celle-ci, nous pouvons ajouter l'avènement de la décentralisation qui est venu brusquer le système en place. En effet, quelques ministères ont transféré une partie de leurs compétences aux collectivités territoriales décentralisées. Il ne faut pas oublier le problème de corruption qui figure en bonne place.

        M. le maire, Avez vous mis sur pied un plan de développement ? Si oui quels sont vos axes principaux ?

        Oui, nous avons un plan de développement comme toutes les mairies. La politique gouvernementale oblige toutes les communes à avoir un plan de développement local. Ce qui permet de répertorier les problèmes de tous les villages, quartiers avec l'appui du PNDP et L'ACAGER( association pour la cartographie et la gestion des ressources) qui nous à été doter cette année. Les axes principaux de notre plan de développement, il faut le dire ; vont dans le sens de l'education et de la santé.

          Quelles sont vos attentes  au moment ou vous quittez déjà l'arène ce cette commune de Ngaoundere 1er le 30 septembre prochain?

      Nous attendons une décentralisation rapide car celle-ci pourra améliorer les conditions économiques des communes et que les actes accompagnent les paroles il ne faut pas berner la population en disant que la décentralisation est effective, que les maires qui viendront après moi gère bien les choses. Que l'Etat fasse à ce que Ngaoundere 1er ne soit pas premier de nom.



                                      Propos recueillies par Nikodemus Waibe Hinsia

Municipales 2013 : Que peut-on en retenir ?


        Au-delà des chiffres favorables ou non aux différents états major politiques, que retenir comme leçons afin de parfaire à l'essor à une vitesse constante du développement de ces arrondissements ?

                   Les résultats définitifs des municipales organisées le 30 septembre dernier dans l'Adamaoua ont été rendus publics depuis le 02 octobre dernier. Au-delà des chiffres favorables ou non aux différents protagonistes, que peut-on retenir comme leçons afin de parfaire notre démocratie à vitesse inconstante? L’UNDP , avec sa locomotive , est sans conteste, le grand gagnant de ces municipales qui se sont déroulées dans 21 circonscriptions. Bien entendu, il reste les élections législatives, dont les résultats sont attendus ce 17 Octobre selon ELECAM et la cour suprême. Sur le plan régional, dans les différents pôles, les partis politiques sont entièrement tombés dans l’escarcelle des mairies. Ce sont, respectivement avec le nombre de sièges ; pour ce qui est des résultats, signalons que l’Undp reste leader de ses communes dans tout le département de la Vina. Au mieux, il sera accompagné dans la gestion de Ngaoundéré I et II par des bleus, à savoir le Sdf et le Front populaire pour le développement. Un regard à Ngaoundéré II, l’Undp domine avec 23 sièges et laisse au Rdpc que six sièges. le Sdf s’invite avec 2 sièges. Pourtant, à Ngaoundéré Ier, le schéma n’est pas différent. L’Undp s’arrache 23 sièges, le Rdpc le suit avec six, pendant que le Front populaire pour le développement (Fpd) et le Sdf ont un siège chacun. Par contre, la mairie de Ngaoundéré III qui a eu sept partis politiques, le Rdpc s’impose avec la part du lion avec 22 sièges, pendant que l’UNDP en prend quatre. Deux nouveaux partis viennent se greffer au monde politique de cette circonscription. Il s’agit du parti Univers et le Sdf qui se contente d’un siège. Sur les 21 communes d’arrondissements de la région château d’eau, les 1er, 2ème arrondissements demeurent la chasse gardée de l'UNDP.

       Ngaoundéré I et II, identiques à elles-mêmes avec l'opposition

            Seules, ces deux arrondissements ont échappé à la boulimie du RDPC. A Ngaoundéré I, premier arrondissement, c’est l'opposition qui n'est entre autre que l'UNDP. Le drapeau vert, conduit par l’ancien maire de cette commune, Bobbo Saliou , qui a arraché le siège. A Ngaoundéré IIe, la liste UNDP a raflé les 22sièges. Ces deux circonscriptions sont des poumons économiques de Ngaoundéré à cause des unités industrielles (pour la première) et les ressources pétrolières (pour la seconde) qu’elles renferment. Remporter ces deux communes a été toujours l’obsession du parti de l'opposition depuis cinq ans. Toutes les stratégies et tous les gros moyens mobilisés par les ténors de L'UNDP , en tête desquels le Président Bello Bouba Maigari , n’ont pas permis de faire tomber ces deux arrondissements qualifiées depuis toujours de frondeuses. L’on aura compris que la seule stratégie de distribution de l’argent de l’Etat ne suffit pas à rallier les populations à sa cause. Qu’est-ce qui a été à l’origine de la prouesse de l’opposition dans les circonscriptions où elle a écrasé le RDPC ? Est-ce à cause de la transparence due à un monitoring citoyen accru? Est-ce les retombées d’une coalition des anciens militants du RDPC et l'UNDP forte? Il serait osé d’avancer que les coalitions ont été déterminantes dans cette victoire. A contrario, les échecs de l’UNDP à Ngaoundéré IIIe seraient dus en partie à la dispersion d’énergie. Chaque liste étant partie en solitaire bien que les projets de société se recoupent.

                             Attentes de la population

                 Les enjeux de ces élections sont locaux et prennent en compte les intérêts des populations à la base. Ainsi, les candidats élus ce 16 octobre sont appelés à faire preuve de dépassement, en oubliant leur coloration politique, et dans la mesure du possible, en faisant leurs, projets de société pertinents proposés par leurs adversaires pour les intérêts des populations. «  Je souhaite que ce maire fasse vraiment son travail, sinon une insurrection des étudiants va prendre place. Ce sont mes cop's ; je les connais en tout cas place aux réalisations des promesses surtout. » Souligne Gring Zigla porte parole des étudiants à Ngaoundéré IIIe. Aussi, les conseillers doivent-ils se garder de la tentation de "récompenser" les militants au risque de compromettre leur mandat. Il faut élaborer des plans de développement locaux réalistes qui prennent en compte les potentialités socioéconomiques et surtout les attentes des populations, au risque de trancher avec certaines promesses de campagnes souvent trop belles. Pour cela, toutes les compétences tant locales que nationales devront être mises à profit.
                                                                   Nikodemus Waibe Hinsia

NGAOUNDERE : Partage de siège entre le RDPC et l'UNDP aux élections législatives


          La Cour suprême a confirmé jeudi dernier le partage du siège de la députation , a l'issue des élections législatives , relevant toutefois des irrégularités, alors qu'une partie de l'opposition dénonçait des fraudes avant la promulgation des résultats.
           Selon les résultats donnés par la Cour suprême, l'UNDP a remporté 2 des 3 siège de la capitale château d'eau du Cameroun, et a obtenu la majorité absolue dans 19 des 42 circonscriptions concernées par le scrutin. Il a par ailleurs remporté Ngaoundéré Ier et 2e , le second arrondissement à 71,77 %, se partageant avec le RDPC , Le troisième arrondissement , avec le rassemblement démocratique du peuple Camerounais en majorité de ce coté là.  Ali Bachir du RDPC (rassemblement démocratique du peuple Camerounais ) , conforte sa position dans la Vina. 
       Coté opposition, le fédéraliste Yorongar Ngarlejy confirme sa victoire à Bébédjia (sud), région pétrolière avec 50,34%. Il en est de même de la ville de Moundou (sud) où l'Alliance "le Cheval" a remporté avec 71,31%. 
         La principale coalition de l'opposition, la Coordination des partis politiques pour la défense de la constitution (CPDC), qui regroupe 16 partis et a présenté des listes uniques dans 32 circonscriptions n'a remporté de majorité dans aucune d'entre elles. M. Kebzabo avait dénoncé avant même le jour même du scrutin "des tentatives de fraude par la carte un peu partout, surtout à N'Djamena". "La frontière n'était pas fermée avant 12H30 alors qu'elle devait l'être. Entre temps des Camerounais sont venus nombreux pour passer voter. Nous avons du faire pression pour que la frontière soit fermée", avait-il dénoncé. Le jour du vote, le président Idriss Déby Itno avait appelé "la classe politique à garder la sérénité". "Notre pays n'a pas besoin de remous post-électoraux ou pendant les élections", a-t-il souligné, souhaitant que tout se déroule dans "la plus grande transparence". 
            "On n'a jamais assisté à une telle scène d'achat de conscience. La fraude a été organisée de façon massive sur le terrain", a accusé ,un militant du parti de l'opposition qui à requis l'anonymat. "Nous nous félicitons de ces bons résultats obtenus sur l'ensemble du septentrion par l'UNDP. (...) la population à entendu le message que nous leur avons livré", avait quant a elle déclaré Elise Loum, de l'opposition, après l'annonce des résultats par la cour suprême. Pour ce qui est des chiffres sur les taux de participations n'ont été donnés, alors qu'a N'Djamena, le scrutin avait semblé suscité peu d'engouement. 
Nikodemus waibe Hinsia

Tabaski: célébration de la fête sous haute tension à l'attente du nouveau maire


         Le jour de la fête, les différents conseillers de la mairie de Ngaoundéré IIIe et les clients ne se bousculaient guère, motif les yeux sont rivés sur le choix fatidique du nouveau maire. Dernières campagnes électorales chez chaque conseiller afin de les convaincre voici ce qui à constituer l'activité des candidats en liste après la traditionnelle prière de l'Aid- EL-KEBIR.
            Les fidèles musulmans de l'arrondissement de Ngaoundéré IIIe ont célébré la "fête du mouton" ce Mardi sous haute tension, pourtant sur le marché les prix du précieux mouton pour le sacrifice et des denrées de première ont flamber sur les marchés tout d'un coup. A la veille de l'apothéose, chez les différents conseillers la tête n'était pas encore à la fête, priorité à exécutif des municipales ce 16 octobre. «  à l'heure actuel, je n'ai même pas encore acheter un mouton, je venais de rentrer d'un voyage. Tout à l'heure nous aurions une réunion avec un candidat qui aspire être maire. » souligne Bachirou, conseiller de l'UNDP. Malgré cette réticence des conseillers ; les prix des moutons variaient selon leur provenance et leur forme. "Les béliers importés du Nord et l'extrême Nord coûtent plus cher parce qu'ils ont de l'embonpoint", explique , Marafa Innedja vendeur de bétail. Ils valent entre 50.000 et 150.000, voire 200.000 F CFA. Les moutons ordinaires, acheminés des provinces, sont vendus entre 50.000 et 300.000 FCFA.
        Mme Inna explique la raison de la tension :  « Tout émane de la démission de ISHAGA DAOUDA. Celui-ci dès le départ était tête de liste du RDPC, c'est alors qu'après la victoire du parti de flambeau que ce dernier à décider laisser les armes. Pour lui, il ne peut pas cumuler ces deux fonctions de contrôleurs d'impôts et maires. Bienvenue la déchirure dans le RDPC qui il faut le rappeler à 22 conseillers. La division pris donc une place de choix ; au lieu d'un seul candidat c'est 4 candidats qui ce sont portés garant parmi les 22 conseillers. Comme si cela ne suffisait pas ; UNIVERS est venu aussi se greffer comme candidat potentiel c'est la racine du problème. » . Après plusieurs rencontres des différents conseillers , aucune solution n'a été trouver. L'annulation de l'investiture par le président national du RDPC est venu donner l'engouement aux conseillers de ce parti à postuler.
             Coté population, les signes de mécontentement se laisse voir. «  Depuis que les élections sont finis, nous sommes abandonnés à nous mêmes. Pas de remerciements pour le vote du RDPC, pourtant nous sommes ceux là qui avions battu la campagne électorale jusqu'à dernière énergie. Si le maire qui prend la tête de cette mairie de Ngaoundéré IIIe ne tient pas ses promesses. Les étudiants et les autochtones vont se révolter contre lui et il va cesser de mener le bateau de la mairie. Je connais ces gars, puisque je l'ai les diriger de bout en bout » psalmodie Gring Zigla porte parole des étudiants. Ce sont tous ces facteurs qui ont déterminé la haute tension ce jour de la fête du sacrifice . Selon Hamadou Souleymane , Ustace dans une mosquée de cet arrondissement , « cette tension va s'appaisantir après les élections du bureau exécutif. ». Pour Aladji souaibou, coordonnateur de la campagne électorale du RDPC à Ngaoundéré IIIe : «  on ne connait pas encore qui sera potentiel candidat du RDPC , plusieurs ce sont signaler dans les coulisses. La plupart se sentent apte à être maire attendons le 16 octobre prochain pour voir les surprises ».
Nikodemus Waibe Hinsia

NGAOUNDERE III : L'executif communal est connu



      C'est à l'issue des élections tenues le 16 octobre dernier dans l'enceinte de sa mairie. Élection au cours de laquelle, le maire et ses adjoints ont été votés en présence du préfet de la Vina et le sous préfet de Ngaoundéré IIIe.
     La commune de Dang de part ses conseillers à porté son choix sur Aboubakar Bakary. Il sera secondé dans sa mission régalienne par Mme Lady Rose et le Pr Ngounounou Ismaila officiant respectivement en qualité de 1ere et 2e adjoint au maire. L'équipe ainsi plébiscité à connu au cours des élections remportés avec une large majorité le challenge des conseillers candidats Dr Nkou Mvondo Prosper et Hawla Abdoul Salam. La boucle des élections communales est désormais bouclée avec l'election du nouveau maire et ses adjoints. L'election qui s'est tenu sous les hospices de Mvondo Justin, prefet de la Vina en qualité de représentant du MINATD. 31 conseillers au total au repondu présent à cette occasion fatidique de l'élection du maire, la preuve en est ; la salle de réunion de la commune de Ngaoundéré III était pleine à craquer. Des élections présidées par le conseil des sages ; constituées du plus agé 66ans et la plus jeunes 24ans des conseillers. Pour ce qui est du déroulement et des chiffres , à l'élection du maire deux candidatures à savoir  : RDPC : Aboubakar Bakary et UNIVERS : Dr Nkou Mvondo Prosper. De ce fait, le RDPC s'ensort avec 28 voix contre 02 voix pour UNIVERS. Même scénario en ce qui concerne les élections de maires adjoints ; Ishaga Daouda officiant comme porte parole du RDPC présente la liste des deux maires adjoints en liste : «  il s'agit de Mme Lady Rose et Pr Ngounounou Ismaila ». Au président du parti UNIVERS de psalmodier : «  je me porte candidat encore, même si vous ne me votez pas je sais une chose j'aurais quand même quelques voix. Mon adjointe est Hawla Abdoul Sallah ». Après le dépouillement, RDPC prend 29 voix et UNIVERS 02 voix. Les carottes sont cuites pour Nkou Mvondo Prosper qui est resté néanmoins fair play en donnant rendez vous dans cinq ans si Dieu le veux. Ainsi, viennent se greffer à ce bureau éxecutif les cinq grands conseillers de la communauté urbaine constitué de : Abba Hassan, Ishaga Daouda, Aladji Djika Yerima Massakalla, Abbo Haman et Biya Yaouba.

            Au sortir de cette assise qui faisait office du tout premier conseil communal, le nouveau maire remplaçant Djaouro Razil Nourou, s'est dit satisfait ; de même , il à remercié tout ceux qui l'ont soutenu dans ce mandat qu'il place sous le signe d'une redynamisation. La configuration de la nouvelle équipe dirigeante respecte la parité homme-femme. Il ya deux hommes et une femme pour diriger cette commune. Après les félicitations d'usage du préfet lors de ces élections ; recommandation leur à été donnée de se mettre immédiatement au travail dès la prise de fonction. « Maintenant c'est le travail, mettez vous à l’œuvre, les étudiants et la population ont des regards critique. Ils vous attendent au tournant pour le bilan dans cinq ans. Ce qui fait d'ailleurs la force de cette commune par rapport aux autres dans l'Adamaoua c'est la présence de l’université, surtout pas de déception dans la gestion » dira t'il . Les conséquences de la saison pluvieuse sur les installations, la voirie urbaine, l'insécurité dans l'arrondissement et l'etat piteux de la route qui reste à désirer tel sont les premiers galops d'essais. Comme les maçons, ils seront jugés au pied du mur tout au long de leurs cinq années de mandat.

               Toutefois, signalons que l'executif communal à pris en même temps fonction le jeudi 17 octobre 2013 après la cérémonie de passation de service entre l'equipe sortante et entrante. Cérémonie qui à été présidé par Mme Zainapa Amada, Dame Boukar sous préfet de l'arrondissement de Ngaoundéré IIIe. Djaouro Razil Nourou puisqu'il s'agit de lui qui était encore maire les années antérieures à transmis fidèlement à son successeur les documents de la mairie. En attendant l'installation officielle du bureau exécutif et des conseillers après la tenue du budget communal probablement avant la fin du mois de Novembre.

                                                                                   Nikodemus Waibe Hinsia

NORD : LA MORT A 50 FCFA



La jeunesse du canton s’enivre du bil-bil et Whisky en sachet chasser le stress, surmonter certains difficultées auxquels ils font fasse. Avoir un engouement afin de mieux s'élancer dans un travail .


              Le bil –bil première bière prisée depuis des années dans le canton de Lara estdevenu un facteur de recul pour la jeunesse qui en consomme presque tous les jours en longueur de journée. Fait à base du mil par les femmes recherchant un revenu de survie et vendu presque dans tout le canton sept jours sur sept. Par exemple de lundi à dimanche, il est vendu au marché de Lara
ou le jour de marché de chaque village. Il est donc facile pour le jeune d’en trouver pour apaiser sa soif ou en tirer une satisfaction qui ne diminue en aucun cas d’avec la quantité consommée, car souvent il est brassé dans presque toutes les familles. Comme tout le village constitue une famille pour le jeune, la maman, le cousin et bien d’autres en voient un facteur de socialisation qui peut être partagé du plus grand au plus petit. Celui qui offre habituellement une calebasse de ce vin est toujours aimé plus que celui qui en fait davantage en partageant autre chose de valeur supérieure. 
           Pendant l’année scolaire les cadets du primaire et du secondaire sèchent les cours ou profitent lors des heures de récréations pour aller en consommer et ceci pour venir troubler l’ordre scolaire et public. L’élève qui en consomme devient pour la plupart ivre, ne se contrôle plus, somnole à tout temps et cherchent des disputes à la maison, à tout ceci s’ajoute aussi les grossesses indésirées et la dépréciation de l’aspect intellectuel.
C’est la raison pour laquelle, l’échec s’en suit à tous les niveaux, les parents dépensent leur fond au détriment de l’éducation des progénitures, surprise quand un parent vous dit qu’il n’a pas d’argent pour finir la scolarité de son enfant alors qu’il faudra le voir dans un cabaret offrant et buvant sans contrôle.    
       La simple scolarité du cadet du primaire n’est jamais réglée combien de fois le secondaire et le supérieur. Tâche visiblement difficile pour les en faire sortir, car la mentalité en a retenue le vin comme meilleur outil de développement. Le bil bil n’est pas le seul facteur d’échec de la jeunesse du canton, un nouveau en est apparu, le whisky en sachet vendu à 50fr appelé « Léda » fait aussi des ravages car sa consommation excède déjà celle du bil-bil et sa satisfaction ressentie apparait comme
supérieure.
        Le whisky consommé sans contrôle peut nuire aussi à la santé quand il est même mélangé avec son ferre le bil- bil, il n’ a besoin de faire sortir les élèves de l’enceinte de l’établissement, pas besoin de vous faire remarquer comme la calebasse , il suffit que l’élève ou l'etudiant s’en procure dans un point de vente à 50 Fr et le tour est joué. Troubles en salles, à la maison et bien d’autres méfaits s’en suivent, même scénario que celui du bil. Les mesures doivent être prises pour cette jeunesse, non seulement pour se réunir et collecter des fonds mais s’attarder sur le cadre de formation et d’éducation de la population.


Nikodemus Waibe Hinsia